
A la suite du soulèvement populaire de février 2008 au Cameroun contre la vie chère et le tripatouillage de la constitution, le dictateur sanguinaire Paul Biya ordonna à l’armée de tirer sans sommation et à balles réelles sur les manifestants non armés. Bilan: 140 camerounais furent assassinés dont notre camarade Jacques Tiwa, systématiquement mitraillé devant le palais de justice de Ndokoti, le 28 février 2008, par une patrouille militaire.
Ancien militant du Parlement estudiantin persécuté par le régime en 1993, Jacques...
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