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Le site du Conseil National pour la Résistance - Mouvement Umnyobiste (CNR - MUN)
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24 août 2011

Inscription sur les listes électorales à Hambourg, Franfort, Bonn...: Le mot d'ordre de Boycott largement suivi

Non à ELECAM-Oui à la CENI

Affiche publicitaire d'ELECAM (Modifiée par le CODE),  le mardi 23 Aôut 2011, à la Maison Camerounaise de Hambourg pour sensibiliser la diaspora camerounaise à s'inscrire sur les listes électorales

 A Hambourg, dans le Nord de l'Allemagne, les camerounais refusent de s'inscrire sur les listes électorales. C'est le constat qui se dégage sur le terrain, dans une ville où les partisans de l'opposition sont très actifs contre le régime au pouvoir à Yaoundé.

Ces opérations d'inscription sur les listes électorales visant les camerounais vivant dans le Nord de l'Allemagne avaient pourtant été annoncées à grand renfort de publicité pour le Mardi 23 Août, à la "Maison camerounaise" de Hambourg. C'est le RDPC qui s'est d'ailleurs chargé de diffuser l'information dans la Communauté Camerounaise locale. Flaubert Pankui, le président de la section Rdpc, dans un message électronique annonçait son "plaisir d'informer la communauté camerounaise de Hambourg , qu'une délégation de l'ambassade avec à sa tête le ministre conseiller, effectuera à nouveau un déplacement sur Hambourg le mardi 23.08.2011 afin de permettre à tout un chacun de pouvoir s'inscrire sur les listes électorales (...)".

Une première mission de l'Ambassade du Cameroun avait déjà eu lieu dans la ville Hanséatique le samedi 13 Août dans le but d'inscrire les camerounais  en vue des élections à venir. Les Camerounais boudèrent complètement le rendez-vous et l'Ambassade du Cameroun à Berlin jugea "indispensable" de programmer une seconde rencontre à Hambourg, avec les encouragements des thuriféraires locaux du RDPC, qui prétendaient "contrôler la situation". Ces derniers avaient attribué le boycott des listes électorales à la "spontanéité de la visite du personnel de l'Ambacam qui n'avait pas permis de mobiliser les camerounais de Hambourg et ses environs".

Le Mardi 23 Août, Maison Camerounaise. Il est 19heures. La "délégation de l'Ambassade avec à sa tête le Ministre Conseiller" comme annoncé, est absente. A sa place, c'est le président de la section RDPC à Hambourg, assis derrière une table et s'ennuyant visiblement, qui essaye de courtiser et proposer aux rares visiteurs qui s'aventurent sur ces lieux, des fiches de demande de carte consulaire et d’inscription sur les listes électorales. Ce qui n'a pas manqué de susciter le courroux d’un étudiant venu pour se faire recenser. "On nous a dit qu'une délégation de l'ambassade viendrait  pour nous inscrire (...); où est donc cette délégation? Pourquoi c'est le président du RDPC à Hambourg qui est chargé d' inscrire les gens sur les listes électorales?" tempête N.J, étudiant en électronique, avant de sonner la charge : "quand on va dire que l'ambassade c'est le RDPC ou que ELECAM, c'est le RDPC, vous allez dire qu'on ment (...)". "En voila la preuve", fulmine notre jeune homme, très en colère, avant de claquer la porte.

 SAM_0025

La Maison Camerounaise ce mardi 23 Aout 2011: d'habitude fourmillant de monde, elle n'a pas connu d'affluence pour les listes électorales.

"Nous sommes venu nous assurer que notre mot d'ordre de boycott est effectif"

L'une des curiosités de cette soirée "d'inscription sur les listes électorales" a été l'arrivée autour de 19 heures, de Monsieur Tene Sop, Membre du CODE et Secrétaire Général du Conseil National pour la Résistance - Mouvement Umnyobiste (CNR-MUN), qui a récemment cosigné une déclaration conjointe avec d'autres organisations de la Diaspora, pour appeler au boycott actif des listes électorales et de l'élection présidentielle. "Où est la délégation venue de Berlin pour les inscriptions, Interroge-t-il d'emblée ! "La délégation a eu un empêchement et m'a demandé de l’aider à faire le travail, ce que j’ai accepté (…)" rétorque un peu embarrassé Flaubert Pankui. « Non, ca c’est un acte illégal et frauduleux car un militant de parti na pas la crédibilité et l’impartialité requises pour représenter aussi bien l’AMBACAM que ELECAM (…) ; c’est comme cela que vous faites pour bourrer les listes électorales d’électeurs fictifs. Vous êtes pris en flagrant délit de fraude électorale !…» tempête Tene Sop. « Non, je n’inscris personne, tente de rassurer Pankui , je rassemble juste les fiches pour les acheminer à l’Ambacam à Berlin et c’est elle qui va établir les cartes d’électeurs». Il s'ensuit alors une discussion très animée entre les deux. Interrogé sur sa présence sur le site des inscriptions alors que son mouvement a appelé au boycott, Tene Sop réplique "nous sommes venu nous assurer que notre mot d'ordre de boycott est effectif" avant d'expliquer ce qu'il entend par boycott actif: "le boycott actif, murmure l’activiste, c'est être présent sur le théâtre des opérations afin de persuader par la discussion et le dialogue ou de dissuader par tout autre moyen, nos compatriotes à ne pas cautionner un processus électoral frauduleux".

Vote trocadéro_2004_Tene Sop simulant le vote et Ekwé Silo du M

Le moins que l’on puise dire c’est que ce ne fût pas une journée facile pour Pankui Flaubert qui s’est sans doute beaucoup ennuyé ce 23 aout à la Maison camerounaise, tellement les candidata á l’inscription sur les listes électorales se faisaient rares. A 21heures 30mn, Monsieur Pankui a refermé ses registres signifiant la fin des inscriptions. Quant à nous, nous avons compté exactement 5 personnes qui se sont présenté  à l’enrôlement, dans une ville qui compte plus d’un millier de camerounais. Bilan bien  maigre et pathétique pour une opération qui avait pourtant été annoncée à grand renfort de publicité.

Selon nos informations c’est le même désintérêt de la Diaspora en Allemagne qui a accueilli les missions d’inscription électorale à Bonn et à Francfort de même qu’à l’Ambacam à Berlin. C’est ce quasi boycott des inscriptions électorales par la diaspora camerounaise en Allemagne qui serait d’ailleurs la cause de l’annulation pure et simple des deux autres missions d’inscription qui étaient prévues à Stuttgart et à Munich, respectivement les 27 et 28 Août. Selon un fonctionnaire de l’Ambacam à Berlin qui a requis l’anonymat, « Nous sommes très découragés par le manque d’enthousiasme de la Diaspora ; nous espérions un réel engouement compte tenu de ce que c’est la première fois que notre diaspora va voter… ».

Pour rappel, par la loi N°2011/013 du 13 Juillet 2011  et le décret présidentiel N° 2011-237 du 8 août 2011, le régime de Monsieur Biya a enfin reconnu le droit de vote aux citoyens camerounais établis ou résidant à l’étranger. Mais cette loi exclut de facto, de nombreux camerounais s’étant prévalu d’une autre citoyenneté, la nationalité camerounaise étant incompatible avec d’autres nationalités. C’est l’une des raisons pour lesquelles des organisations politiques de la Diaspora Camerounaise dénoncent cette loi et de nombreuses d’entre elles dont le CODE, ont appelé les camerounaise de la Diaspora à boycotter les inscriptions sur les listes électorales et l’élection présidentielle d’octobre.

Autant dire que les semaines à venir s’annoncent très chaudes dans la diaspora Camerounaise.

Essama Benoit Joël, Hambourg

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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D
>Quand Robert Bourgi, l’éminence grise de l’Afrique noire, évoque le (...)<br /> Quand Robert Bourgi, l’éminence grise de l’Afrique noire, évoque le blanchiment d’argent des chefs d’Etat africains par l’Elysée et Matignon<br /> <br /> lundi 12 septembre 20<br /> <br /> La photo de Dominique Galouzeau de Villepin occupe pratiquement toute la « une » du Journal du Dimanche de ce matin, dimanche 11 septembre 2011. En dessous, en vignette, les photos de Blaise Compaoré, Abdoulaye Wade, Laurent Gbagbo, Denis Sassou Nguesso et feu Omar Bongo Ondimba. 3 pages dans lesquelles « l’avocat Robert Bourgi raconte comment il a convoyé jusqu’à l’Elysée pendant des années les millions des chefs d’Etat africains ». « Un récit hallucinant des relations secrètes France-Afrique ».<br /> <br /> On y croise le « Doyen » (Jacques Foccart), « Grand » (Jacques Chirac), « M. Chambertin » et « Camarade » (Bourgi), « Mamadou » (Villepin), « Papa » (Bongo) et quelques autres qui n’ont pas l’honneur d’avoir un « blaze ». Robert Bourgi nous raconte que « pendant trente ans, Jacques Foccart a été en charge entre autres choses, des transferts de fonds entre les chefs d’Etat africains et Jacques Chirac » et qu’en mars 1997, « le jour de l’enterrement de Foccart » - que Bourgi appelle son « maître » - Villepin lui a demandé de « reprendre le flambeau ». Voilà donc comment pendant dix ans (1997-2007), Bourgi a été le « porteur de valises de l’Elysée ». Les chefs d’Etat africains, les ministres et les ambassadeurs défilent et les millions d’euros (« en petites coupures ») aussi dans le coffre de la voiture de Bourgi. Bourgi trimballe tellement de sacs (et même des djembés, une idée, note Bourgi, de Blaise Compaoré « connaissant Villepin comme un homme de l’art » et de Salif Diallo !)contenant de l’argent qu’il en a « mal au dos ». Il lui est même arrivé de penser, dans ces moments-là, au général De Gaulle et d’avoir « honte ». Au passage, Bourgi joue les « tontons flingueurs » avec dans le collimateur une cible privilégiée : Villepin, et une cible secondaire : Alain Juppé.<br /> <br /> A lire Bourgi, on a l’impression qu’il n’a jamais été qu’un « porteur de valises » et que « l’ingratitude » de Villepin à son égard résulterait justement du jour où, « la dernière semaine de septembre [2005] », celui-ci lui aurait affirmé : « L’argent de Sassou, de Bongo, de tous les Africains, sent le soufre. C’est fini […] Si un juge d’instruction vous interroge, vous met un doigt dans le cul, cela va mal finir ». Dans la foulée, Bourgi ira donc « voir Nicolas Sarkozy » qui lui dira : « Robert, là où je suis, tu es chez toi ». Cela tombe bien : Sarkozy va se retrouver à l’Elysée et demandera à Bourgi « de travailler pour lui, mais sans le système de financement par valises ». Formidable déballage dont, étonnamment, Bourgi ne sort pas avec le beau rôle. Il revendique même une amitié « de trente ans » avec Gbagbo mais se lamente dans le même temps que Juppé l’ait radié de la liste des invités pour « l’intronisation de Ouattara » ; drôle d’ami !<br /> <br /> Ce n’est pas la première fois que cette éminence grise de l’Afrique noire cherche à sortir de l’ombre. Il s’était déjà « confessé » dans Le Nouvel Observateur (1er-7 mai 2008). Bel entretien : à la question de Jean-Baptiste Naudet : « Pourquoi Nicolas Sarkozy a-t-il tiré vers la lumière cet homme discret qui sent le soufre ? », Bourgi répondait que « le président assume ses choix [et] qu’il a des couilles au cul » (cf. LDD France 0489 à 492 + Spécial Week-End 0333/Mardi 13 à Samedi 17-dimanche 18 mai 2008).<br /> <br /> Bourgi n’est pas un nouveau venu sur la scène franco-africaine. D’origine libanaise, né à Dakar, cet enseignant de droit public en Afrique (particulièrement en Côte d’Ivoire) pendant une quinzaine d’années, a prêté serment d’avocat en 1993 (il avait alors 48 ans) et s’est, dès lors, positionné sur la scène franco-africaine. Son nom seul suffit : son père, Mahmoud Bourgi, le « brave Bourgi », était l’honorable correspondant de Foccart en Afrique de l’Ouest. « Bob » (comme l’appelait Foccart), quant à lui, va s’illustrer, au début des années 1990, comme go-between entre les « chiraquiens » et Mobutu au temps du mitterrandisme finissant, avant de diversifier ses pôles africains quand Chirac s’installera à l’Elysée. Les pérégrinations africaines de Bourgi sont innombrables, mais « Bob », jusqu’à ces dernières années, entendait rester dans l’ombre. Sarkozy à l’Elysée, l’ombre va se dissiper : c’est le nouveau président de la République qui, le 27 septembre 2007, lui remet la Légion d’honneur.<br /> <br /> A Paris, Abidjan, Dakar, Libreville, Ouaga, etc. parler de Bourgi est, je l’ai maintes fois constaté, dérangeant. On minimise son impact et, pourtant, il demeure omniprésent dans les affaires franco-africaines. Sous Sarkozy comme il l’était sous Chirac. L’évocation de son nom dans les « affaires ivoiriennes » au temps de Gbagbo me vaudra, le 15 septembre 2004, une mise en examen par le juge Patrick Ramaël, Bourgi considérant que, le présentant « comme le fondateur en Côte d’Ivoire d’un pôle de regroupement pour les « africanistes » parisiens de l’ultra droite » et « suggérant que certains éléments extrémistes de la communauté ivoiro-libanaise seraient tentés, en liaison avec cette ultra droite, d’utiliser le terrorisme à des fins politiciennes », s’estimait diffamé. Après l’audience du 11 octobre 2005, il sera déclaré « irrecevable en son action et en toutes ses demandes » (dont 50.000 euros de dommages et la publication du jugement dans Le Figaro).<br /> <br /> Depuis, Bourgi vit en pleine lumière et multiplie entretiens et prises de position. Ce qui ne lui facilite pas la vie du côté de l’Elysée. Philippe Bernard, dans Le Monde daté du 5-6 décembre 2010 (au moment des révélations par Wikileaks des télégrammes diplomatiques US), évoquait les points de vue des « officiels » des affaires africaines à l’Elysée au sujet de Bourgi : « Un mercenaire seulement préoccupé par son bien être, un opportuniste, un lobbyiste indépendant qui tente d’améliorer sa valeur commerciale en grossissant le rôle qu’il prétend jouer au moyen de fuites organisées dans les journaux économiques » (Rémi Maréchaux) ; « Le premier objectif de Bourgi est de faire sa propre promotion en vue de son enrichissement personnel [et il] ne représente pas le gouvernement français » (Romain Serman). Son entretien dans le JDD de ce matin ressort de la même démarche : se rendre indispensable aux côtés de Sarkozy - malgré les réticences de l’entourage du chef de l’Etat - en ciblant ceux qu’ils pensent être les « ennemis » du président : Chirac et Villepin. Rien d’autre qu’un « tonton flingueur ». « A 66 ans, déclare-t-il à Laurent Valdiguié, j’en ai assez des donneurs de leçon et des leçons de morale. J’ai décidé de jeter à terre ma tunique de Nessus [= « un présent funeste »], cet habit qui me porte malheur et que je n’ai jamais mérité ». Une explication particulièrement absconse.<br /> <br /> On notera cependant que Valdiguié, l’interviewer de Bourgi, ancien journaliste au quotidien Le Parisien (de 1992 à 2007), rédacteur en chef à Paris-Match (2007-2008), rédacteur en chef au JDD depuis le 18 décembre 2008 en charge de sujets « investigation et société », est l’auteur d’un livre sur les relations de Chirac avec l’argent (« Notre honorable président ») publié en février 2002, mais également de deux livres sur « l’affaire Clearstream » et « le procès Villepin » (en collaboration avec Karl Laske, ancien journaliste de Libération qui, depuis mai 2011, a rejoint Médiapart ; il est l’auteur par ailleurs d’un livre sur « l’affaire Elf » : « Ils se croyaient intouchables »). Valdiguié s’est illustré, en mars 2011, par son interview de Kadhafi sponsorisé par Ziad Takieddine, « intermédiaire » libanais mis en cause dans plusieurs affaires (et actuellement dans le collimateur du fisc) : Takieddine, revenant de Tripoli avec les journalistes de JDD, avait été placé en garde à vue au Bourget : il avait sur lui 1,5 million d’euros en liquide… Des valises continuent de circuler ! Reste à connaître le montant des commissions pour les « porteurs ».<br /> Il n'y a donc qu'une petite liste de voleurs<br /> qui apparaît . Et pourtant, toutes les marionnettes que les élections néocoloniales im-<br /> posent aux Nègres avec la complicité très ac-<br /> tive des bougres du parti unique néocolonial<br /> comme ceux du RDPC,portent des valises de dollars américains aux macaques roses infatués<br /> de qui elles doivent le fauteuil de roi à vie... C'est inévitable,et il n'y a aucune<br /> exception...<br /> <br /> Jean-Pierre BEJOT<br /> La Dépêche Diplomatique<br /> <br /> Lire aussi : Bourgi : "J’ai vu Chirac et Villepin compter les
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SARKOSY ET D’ALAIN JUPÉ SE SONT DÉCLARÉS ÊTRE TERRORISTES SANS S’EN APERCEVOIR. MANDAT D’ARRÊT CONTRE LA C.P.I.<br /> L’impitoyable Nicolas Sarkosy, fier d’adopter sa politique du toujours plus, est capable de créer le chaos sur toute la planète si personne ne l’arrête. Il est urgent que les nations réagissent face à sa folie sanguinaire baignant dans un hymne national délirant. Car nul ne sait jusqu’où est capable d’aller un ogre furieux qui se laisse entrainer dans toutes les spirales criminelles et terroristes en rejetant sans vergogne tous les accords conclus et toutes les résolutions.<br /> Depuis 2007 Sarkosy criait sur toutes les places : " Travailler plus pour gagner plus." En 2011, la fureur meurtrière dans laquelle il s’est plongé corps et âme, car la fureur ne s’empare que des faibles qui se prennent pour des colosses, il hurle devant le monde entier avec des bombes qu’il fait parler à sa place tellement il a honte de le dire lui-même : " BOMBARDER PLUS POUR TUER PLUS." Mais ce n’est pas tout ! Il rugit aussi avec une sauvagerie sans précédent : " Larguer vos bombes sur toutes les villes Libyennes en paix pour terroriser les populations, pour détruire le superbe patrimoine de l’UNESCO, les installations de gaz, les approvisionnements d’eau, d’électricité, les antennes de radios et télé, les usines civiles, les écoles, les salles de sport, les stations essence, les cars civils en service, les bâtiments civils avec leurs habitants, les mosquées avec leurs Imams, les infirmeries avec le personnel soignant, et même les stocks de ravitaillement de nourriture en dépôt et en circulation, etc. etc., et apporter le chaos, des épidémies passées sous silence, l’horreur, la famine, l’exode… ; " Quand ils seront presque tous tués ou partis nous aurons place nette pour mettre le grappin sur leurs richesses."<br /> Seuls aux plus grands ignorants de ce monde, des primates pourront faire croire que des civils en sécurités seront sauvés sous un déluge de bombes et missiles. <br /> Cependant les cimetières ont été soigneusement épargnés ; Et pour cause, l’opération "Prédator-Otan," excite les vampires du nord à aller battre de l’aile en Libye nuit et jour pour apaiser leur soif sanguinaire. La bande de prédateurs n’a donc pas tord de penser qu’en expédiant des civils dans la tombe, ils seront bien protégés d’un régime qui s’acharne à sauver leur avenir. Des milliers de Libyens sont continuellement victimes des tueries de l’Otan qui, par toutes sortes de magouilles ne cesse de démentir leurs abominables crimes. Et pour preuve supplémentaire de l’authenticité de cette barbarie, le gouvernement Américain a baptisé l’intervention de ses drones en Libye : " OPÉRATION PRÉDATOR." La véritable identité de l’Otan est donc révélée une fois de plus. <br /> Par quelle hypocrisie Sarkosy et Jupé condamnent le nazisme alors qu’ils font vivre pire aux autres, en exterminant un peuple de la pire des façons sous des prétextes mensongers démontrés. Ils ont réussi l’examen le plus espiègle qui soit ; L’examen du plus grand scandale militaire intercontinental, soit, le tour de malice de toutes les manœuvres mensongères pour convaincre l’O.N.U., la ligue Arabe, l’union Africaine et l’Otan, afin de parvenir à leurs objectifs macabres en Libye, par une intervention terroriste et désastreuse que nul ne peut plus contester. Et devant cet acharnement barbare, que fait la C.P.I. dans ses cures d’hypnose ! Elle démontre son soutient au terrorisme de l’Otan qui tyrannise et massacre les populations de toutes les villes Libyennes qui étaient en paix. Protégeant ainsi l’armée apocalyptique de l’Otan excité dans un violent délire de boucherie et qui se permet d’interdire le libre arbitre a tout un peuple, quitte à le massacrer jusqu’au dernier, ou jusqu’à ce que celui-ci accepte d’être réduit en esclavage. Couple infernal Otan-C.P.I., débordant de la volonté d’éteindre l’un des derniers et plus généreux défenseurs de l’Afrique libre, avec des ´bombes démocratiques` qui fleurissent abondamment les cimetières civils. <br /> Voir sur internet l’accablant dossier : « LIBYE : PREUVES DES CRIMES CONTRE L’HUMANITÉ DE L’OTAN. »<br /> Que l’Afrique entière prenne bien connaissance de ce qui trotte dans la cervelle des fureurs. Parmi les derniers nés, Sarkosy, qui s’est révélé lui-même en affirmant : " Nous irons jusqu’au bout." Prêt à tout ! Réfléchissez bien PEUPLES AFRICAINS. Avec un guerroyeur enragé à la tête des caisses vides des pays de l’Otan, ceux-ci peuvent aller jusqu’au bout de tout ce qui sera bon à prendre pour guérir la contamination de leurs déficits abyssaux.<br /> Aller jusqu’au bout en Libye ! Sachant que le chemin qui mène à l’autre bout peut passer par le massacre de millions de Libyens, fidèles de leurs pleins droits, au régime de leur choix. Et puis c’est qui " NOUS " ! Un fureur qui a mobilisé une compagnie qui accepte de devenir bourreaux d’enfants pour assouvir leur haine et leurs convoitises ! Qui tous excellent dans le langage des bombes en dessous desquelles est écrit : " Nous voulons sauver les civils." Et sur le dessus : "Charnier à ciel ouvert, mort aux civils fidèles au régime." Le tout estampillé par la C.P.I. QUI N’A DONC PLUS AUCUNE LÉGITIMITÉ et qui se condamne elle-même à un mandat d’arrêt par la véritable justice, pour activités passives envers l’organisation terroriste avérée qu’est l’Otan en flagrant délit de génocide barbare doublé d’acharnement depuis 6 mois.<br /> De surcroît, Sarkosy et Jupé, du haut de leurs instincts bestiaux, tourmenté par une violente haine, n’ont pas cessé de déclarer pendant des mois qu’il faut intensifier les bombardements sur les villes en paix, évidemment pour tuer plus, avec le culot de tenter de faire croire que Kadhafi massacre son peuple, alors qu’il tente de le sauver courageusement de la tyrannie et d’une démocratie démentielle et forcée de toutes les dépravations, qu’aucun pays arabe et Africain ne désirent. Démocratie dirigée comme en France, par un chapelet de rois de l’incurie. Or, cette déclaration rébarbative de faire parler la poudre toujours plus, de Sarkosy et Jupé, au regard de toutes les conventions militaires et de tous les accords, est clairement et incontestablement une DÉCLARATION TERRORISTE équivalente aux propos suivants : " Nous devons intensifier les bombardements sur les villes en paix pour sacrifier la population Libyenne face au régime qui refuse de céder devant notre dictature sanguinaire."<br /> Il y avait donc dès le départ de l’expédition terroriste et punitive envers des populations innocentes, le 19 mars, un mot d’ordre secret dans les neurones en déroutes du fureur ´Alibaba-Sarko` et des 40 pilleurs barbares cachés derrière un rideau vermoulu aux allures d’œuvres humanitaires. Mot d’ordre qui dit : " Pas de quartier au-dessus des villes en paix, bombarder plus pour tuer plus sera notre devise ; Nous préserverons seulement les cimetières qui doivent servir à la protection des civils fidèles au régime."<br /> Il est donc désormais incontestable au regard de toutes ces vérités et de bien d’autres, que Sarkosy et Jupé ont bien déclarés publiquement par ces biais et à maintes reprises, sans s’en rendre compte, qu’ils étaient de dangereux terroristes entêtés. « En avant de la tyrannie, qu’un sang impur abreuve nos sillons… » Les tyrans finissent toujours par se trahir eux-mêmes.<br /> <br /> Posté par Gérard, 22 août 2011 à 05:07<br /> Poster
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